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à propos d'Essais sur la logique des modalités de Gardies Jean Louis,            Tables des matières,
 
     
  Le poids de l'héritage aritotélicien ?  
 

Le modal y est réduit ( pour des circonstances historiques propres à Aristote) à définir les propositions modales par la présence en elles des termes :
Nécessaire, Impossible, Possible, Contingent.
Spécifiés par des Noms ou des Adverbes qui définissent la Logique modale (aristotélicienne).

Ainsi la Logique modale suggère une logique de l'Adverbe ou une logique de la Proposition Complétive.
(voir Grammaire).

 
  Le lien de la logique aristotélicienne à sa métaphysique.  
  Aristote veut préciser ce qui appartient ou pas en propre au Sujet !
Il distingue donc divers types d'appartenances (simple, nécessaire, contingente) (Premières analytiques, I,8; 29b, 29-32).
- La simple appartenance est une chose,
- L'appartenance nécessaire est une autre chose,
- L'appartenance contingente une autre chose
Les propostions sont ainsi pour lui (Principes aristotéliciens formulés postérieurement) :

 
  Assertoriques, ou proposition simple inhérente, (voir ci-dessous pour Inhérence), sans opérateur de nécessité, d'impossibilité, ou de possibilité ! (de assertif, Kant),  
  Appodictique ou assertion et négation se renforcent respectivement entre nécessité et impossibilité,  
  Problématique ou l'assertion s'affaiblit jusqu'à l'expression d'une simple possibilité. (contre les Mégarites),
Elle souligne l'originalité de l'être en puissance à égale distance de l'être en acte et du non-être * !
( Un, la Logique comme Incorporel(le)s, 2, Aristote,..., non être : 1, Hénologie,)
 
     
  Car la division des propositions en nécessaires et non-nécessaires renvoient au statut aristotélicien de l'ACCIDENT, défini comme ce qui peut aussi bien apparenir ou non à l'objet considéré.
( L'accident est ce qui est dans un autre, ce qui s'ajoute à la substance ou à l'essence pour la modifier.
L'accident est donc opposé à la substance et à l'essence, sous différents rapports. ...ImagoMundi, ...)
 
     
  L'inhérence d'un prédicat dans un sujet !  
  La simple proposition catégorique (aristotélicienne) s'analyse comme l'affirmation ou la négation de l'inhérence d'un prédicat dans un Sujet ! (Inhérence : qui n'existe que par rapport au Sujet, manière d'être intrinsèque au Sujet, qui tient au Sujet, )  
     
  Les nuances de la modalité.  
  Ainsi les propositions modales se caractérisent par la présence en elles de MODES, c'est-à-dire de termes qui MODIFIENT ou DERTERMINENT l'inhérence du prédicat. (Savez vous planter des choux ...!)  
     
  Le modèle des modes de la modalité.  
  Au XXI eme siècle la Logique conserve "le carré logique d'Aristote comme modèle", *, (+), car pourquoi se priver de ce Résultat si longtemps développé, enseigné, et asséné ? (à propos du carré logique : carré logique
     
  De la modalité aux modalités (le terme modalité excède les modalités d'Aristote)
ainsi divers modes de la modalité modifient la logique modale aristotélicienne dogmatique !

 
  à côté de... (re),  
 

La logique, "raisonnable", qui conserve les résultats (fixés) obtenus par la logique aristotélicienne et à côté de cette modalité ontique (et non "aléthiques", la vérité n'étant pas l'apanage de ce mode particulier)
(ontique : de l'ordre de l'être en général, relatif à l'ontologie, 2, ) :
Il est nécessaire que p,
ou p nécessairement,

 
  d'autres modalités apparaissent ...  
  Les modalités temporelles : (prend en compte l'évolution du monde, du contexte, vérité d'un jour n'est pas toujours !)
Il se trouve toujours que p
ou p toujours,
 
     
  Les modalités déontiques : (obligation, interdiction, permission, facultatif)
Il faut que p,
ou p obligatoirement
 
     
  Les modalités épistémiques, (raisonne sur la connaissance, )
Il est connu que p,
ou p notoirement
 
     
  Logique de la connaissance des connaissances, ou savoir partagé,  
     
  La logique dynamique, ou sémantique axiomatique, en informatique, vérifonctionelle,